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Marine Le Pen veut se poser en leader de l'opposition régionale
26/03/2010 23:05
La séance inaugurale du Conseil régional a donné lieu en ce début d'après-midi à la première querelle de procédure lancée par Marine Le Pen qui cherche à se poser en seule véritable opposante à la Région et à marginaliser la majorité présidentielle. La séance a été suspendue en début d'après-midi, à la demande de l'opposition (UMP – NC) après un incident soulevé par Marine Le Pen. Les élus venaient d'entériner la composition de la Commission permanente avant de s'atteler au vote de deux délibérations prévoyant des délégations de pouvoir à Daniel Percheron et à la Commission permanente. Ces délégations de pouvoir permettent au président du Conseil régional et aux élus membres de la Commission permanente de prendre certaines décisions sans avoir à passer leurs décisions au vote en séance plénière du Conseil régional. Marine Le Pen a pointé le fait que ce type de délibérations, qualifiées de « délibérations ordinaires », auraient dû être transmises aux élus 12 jours avant qu'elles ne soient soumises au vote. Code général des collectivités locales en main, Marine Le Pen a tenu tête à Bernard Roman sur ce point et menacé d'un recours au tribunal administratif. . Les élus de l'UMP et du Nouveau Centre ont demandé une suspensions de séance pour discuter ensemble de leur position.
Après la suspension, Patrick Tillie, élu Europe Ecologie et avocat dans le civil, a sorti les textes précis du code des collectivités pour répliquer à Marine le Pen, expliquant que le code des collectivités permettait le vote en l'état.
Déjà, avant la suspension de séance, Daniel Percheron avait proposé que les deux délibérations soient votées en l'état pour ne pas bloquer le fonctionnement de l'institution et que le débat sur le fond soit à l'ordre du jour de la prochaine séance pleinière prévue la troisième semaine d'avril.
Au final, le Front National a refusé de participer au vote, l'UMP et le Nouveau Centre ont voté contre, rejetant le principe d'une délibération "provisoire" mais, à la majorité, les deux textes sont passés.
Il a fallu, tout de même, corriger la mouture initiale de la délibération qui contenait une énorme coquille. Elle autorisait le président du conseil régional à souscrire des lignes de trésorerie pour les besoins à court terme d'un montant annuel maximal de 250 000 millions d'euros... Au lieu de 250 millions.
Florence Traullé
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Installation du conseil régional
26/03/2010 22:56
Daniel Percheron a été élu à nouveaux Président du Conseil Régional du Nord/Pas de Calais avec 73 voix. Les 15 vices – présidences sont accordées à : Bernard Roman, Myriam Cau, Pierre de Saintignon, Catherine Génisson, Philippe Kémel, Jean Marie Alexandre, Delphine Bataille, Emmanuel Cau, Madjouline Sbai, Alain Wacheux, Cécile Bourdon, Wulfran Despicht, Christine Batteux, Sandrine Rousseaux, Jean Louis Robillard.
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Convention Nationale de Debout la République sur le plein-emploi samedi 10 avril à Paris
26/03/2010 22:31
Debout la République organise une Convention nationale, samedi 10 avril à l’Assemblée Nationale toute la journée. la matinée sera consacrée, en présence d’économistes et de témoins du monde de l’entreprise, au thème du retour au plein-emploi, grâce à la réforme de l’euro et du libre-échange déloyal, comme à l’instauration d’une "TVA sociale".
L’après-midi réunira les seuls membres de DLR autour de leurs élus et de leurs cadres nationaux, pour tirer le bilan de ces derniers mois et dresser les perspectives du rassemblement gaulliste ces prochaines années.
Possibilité de déjeuner sur place (33€ par personne).
ATTENTION : pour des raisons de bonne organisation et d’accès aux locaux de l’Assemblée nationale, l’inscription est IMPERATIVE (par téléphone 01 69 49 17 37 ou par courriel : courrier@debout-la-republique.fr).
Retrouver le carton d’invitation de la Convention nationale sur le plein-emploi.
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Conseil municipal
26/03/2010 17:26
Conseil municipal le :
Samedi 27 mars 2010, à 10h00,
Salle des fêtes (rue Voltaire)
Ordre du jour :
- Comptes de gestion 2009
- Compte administratif 2009 Ville et annexes - Débat d'Orientation Budgétaire (DOB) 2010 - Affaires diverses
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Dominique de Villepin suit Nicolas Dupont-Aignan
26/03/2010 13:05
Une critique acérée du président
Dominique de Villepin a été un des premiers à oser critiquer Nicolas Sarkozy, dès la rentrée 2007, n’hésitant pas à remettre en cause le style du président, sa vision de la Cinquième République, le retour dans le commandement militaire de l’OTAN, certaines dérives contraires à l’esprit de notre République, l’injustice du « paquet fiscal » ou le manque de priorités du gouvernement. Il avait osé formuler ses critiques alors que le président était encore en plein état de grâce, prenant date pour l’avenir. La plupart des critiques qu’il formulait alors ont malheureusement été confirmées par les faits.
Hier, il a poursuivi sur la même lancée, dénonçant le débat sur l’identité nationale, parlant de « politique de réformes éparpillées », dénonçant « la distribution de milliards », parlant de « la souffrance et l’incompréhension » des Français. Enfin, il a même attaqué le non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux dans la fonction publique en soulignant qu’ « il faut faire des efforts, mais il faut faire des choix », se demandant s’il faut « moins d’infirmières, moins d’enseignants, moins de policiers ». Il a annoncé la création d’un mouvement politique libre et indépendant.
Une rupture avec sa « famille » ?
En fait, il n’est pas le premier à avoir pris ses distances avec le président de la République. C’est Nicolas Dupont-Aignan, en rompant dès la fin 2006 avec l’UMP, qui a souligné encore avant les limites de Nicolas Sarkozy, en prenant la décision courageuse de rendre Debout la République indépendant du parti présidentiel, quitte à perdre tout financement. D’ailleurs, lui-aussi avait signé l’appel de Marianne de février 2008. Alors que Dominique de Villepin a longtemps parlé de l’UMP comme de sa « famille politique », aujourd’hui, il se rapproche du Rubicon franchi il y a plus de trois ans par NDA.
Il semble donc aujourd’hui que l’ancien Premier Ministre suive son exemple. Bien sûr, il reste encore beaucoup de choses à préciser, notamment sur le plan des idées. Hier soir, sur Canal Plus, il ne fermait aucune porte vis-à-vis de l’UMP, affirmant qu’il voulait influencer la politique conduite pour les deux dernières années du quinquennat. Mais même s’il fait le choix de l’indépendance en juin, il sera moins éloigné de l’UMP que DLR, ne serait-ce que par la participation de deux de ses proches (Bruno Le Maire et Georges Tron) au gouvernement.
Hier, Dominique de Villepin s’est à nouveau rapproché du Rubicon en annonçant la création d’un parti indépendant et en critiquant de nouveau Nicolas Sarkozy. De la sorte, il s’est rapproché de la position de Nicolas Dupont-Aignan, qui avait été le premier à oser rompre avec le parti présidentiel.
Laurent Pinsolle
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